Tuesday, March 16, 2010

Pourquoi en Espagne parle-t-on du terrorisme sans mentionner les yihadistas ?

La transcription littérale du texte qu'Eulogio Paz - un père d'Eulogio Paz Manjón, d'assassiné á côté de 190 personnes plus dans l'attentat yihadista de 11M, à Madrid - a expédié à ImP : À l'occasion de la célébration du VI Congrès International sur les Victimes de terrorisme, organisé par la Fondation Universitaire San Pablo CEU, son directeur, Cayetano González, dans son article intitulé Le danger de l'oubli, écrivait (Le monde, 11.02.2010) :" À mesure qu'ETA disparaît de nos vies; à mesure que s'approche d'une forme inexorable la fin pour ce groupe d'assassins qui tant une douleur a causé dans la société basque et espagnole dans les 40 dernières années - 857 victimes mortelles et milliers de blessés - plus grand cela a à être la détermination de ne pas oublier l'inoubliable ". Des martyrs sont seulement les electoralmente utiles De nouveau un chiffre explicite qu'il n'inclut pas - il ne peut pas les inclure parce que ce n'a pas été ETA - aux 191 assassinés 11-M. [Cayetano González] continue d'écrire :" Nous ne pouvons pas oublier l'inoubliable. Dans notre cas cela signifie que nous ne pouvons pas oublier que, pour défendre notre liberté, notre système de vie en commun, notre Constitution, beaucoup de personnes ont donné tout, jusqu'à notre propre vie. Des membres de la Garde civile, du Corps National de Police, des Forces armées, de l'Ertzaintza, des Mossos d'Esquadra, femmes-policiers municipales, des hommes politiques d'UCD, AP, parti socialiste espagnol, UPN, PP, des juges, des entrepreneurs, des journalistes, des enfants, des citadins sans aucune assignation politique ont été vilement assassinés par la bande terroriste ETA. Et, si cela, n'aurait pas été suffisant, le 11 mars 2004, l'attentat brutal avec le résultat de 192 personnes mortes et milliers de blessures ". Ou bien, après toute une exposition du terrorisme d'ETA il nomme 11-M comme encore une addition, comment un diffus additif et un confus, en omettant l'emploi de régisseur du terrorisme islamiste D'au Qaeda. La peur est libre et peut mener à ne pas prononcer le nom du serpent, ou de la bête. Bien sûr, je ne me sens pas représenté dans un congrès de victimes qui n'est pas capable de sonner aux choses de son nom. Je ni me sens représenté dans cet article de Cayetano González, qui n'a pas de courage ni le courage suffisants de citer l'emploi de régisseur yihadista de 11-M. Une réflexion du satanizado le Jeune garçon En Suivant avec cette réflexion je veux mentionner l'article de Baltasar Garzón et de Dolores Delgado intitulé le Terrorisme d'aller et de tour. Baltasar Garzón est magistrat un juge de l'Audience Nationale et de Dolores Delgado, la femme procureur coordonnatrice du terrorisme international. Dans cet article (Le pays, 20.12.2009) il y a une observation très importante dont je vais décrire et rapporter plus loin avec les mots relatifs à Josu Puelles, frère du policier Eduardo Puelles assassiné par ETA. Baltasar Garzón et Dolores Delgado écrivent dans l'article :" Et c'est que toujours, voulons ou non-le, il y a eu deux différentes perceptions pour le terrorisme local (ETA) et pour l'(yihadista) global ou international. "Ce dont je veux décrire et rapporter est le suivant. Dans Le monde (20.12.2009), sous le titulaire Toutes les victimes de tous les signes, on peut lire :" Les affiches ont sobreimpresos les noms de tous les victimes de terrorisme de tous les signes : d'ETA, de GAL, de Grapo, de Mendeku, de Triple À c'est-à-dire tous les morts par la violence terroriste ". Nous sommes devant un clair exemple de la perception locale du terrorisme. La perception qu'il parle de" tous les victimes de terrorisme de tous les signes "et omet, cependant, le terrorisme islamiste de 11-M. À ne pas consister, il est clair, en ce que ce n'est pas une négligence simple produit de la vision locale de renseignements et formative et, au contraire, c'est une omission délibérée pour continuer de mettre 11-M dans l'orbite d'ETA. Tout le précité jusqu'à présent dans cet écrit semble concorder dont le propre Aznar s'est trouvé obligé à reconnaître dans l'un de ses livres, en disant :" Je dois reconnaître que peut-être l'opinion publique espagnole n'était pas le suffisamment conscient, jusqu'au 11 mars, de la portée de la menace du terrorisme islamique, ou au moins, pas autant qu'il l'a été du terrorisme d'ETA. S'il est ainsi, le Gouvernement a sans doute une responsabilité à assumer. Peut-être les propres succès obtenus dans la lutte contre ETA dans les dernières années il nous a mené à descendre la garde devant la menace fondamentaliste. "(Le pays, 28.11.2004). Certes, comme le même Aznar dit: le Gouvernement a-t-il assumé une responsabilité au jour d'aujourd'hui ? Son gouvernement, un espace. Oui, le Gouvernement d'Aznar quand il est arrivé 11-M. Je vais finir par faire une mention au livre les Vies brisées." Le texte de Vies brisées Le monde recueille la mémoire des 857 assassinés par la bande "(04.02.2010). C'est ce qu'il écrit dans son article - en se référant à ETA - les Anges Escrivá, à la suite de la présentation du livre. Pour rien les assassinés 11-M figurent entre les 857 assassinés par ETA. Aucune mention. Un autre coup aux théoriques de la conspiration, à qui, comme conséquence des hallucinations souffertes par sa paranoïa galopante, leur sont apparus des membres de l'ETA en rôdant par les quais. AUPARAVANT, un autre texte d'Eulogio Paz dans ImP : "11-M et un journaliste ? Raúl del Pozo".

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