
Lu l'auto qui souscrit le magistrat du
Cour suprême qui accuse
Baltasar Garzón de tomber dans un délit de prévarication pour chercher - selon le moniteur - à enquêter sur les crimes franquistes, il y a des aspects qui sont méritants d'être soulignés :
1. Le procédé est
fruit d'une plainte formulée par le syndicat de fonctionnaires Manos Limpias; l'initiative à laquelle se sont ajoutés un groupement dénommé Liberté et Identité et
Phalange Espagnole des Assemblées d'Offensive le National-syndicaliste (FE-JONS).
2. Le moniteur soutient la partie de son argumentation dans laquelle le Jeune garçon est incompétent pour enquêter sur des crimes de la dictature gráce à
mauvais appelée une loi d'amnistie de 1977; le texte ce qui est une perversion preconstitucional qui
a seulement servi à pardonner une toute espèce de responsabilités à ceux qui ont commis un délit (même ils ont tué) avec la protection des autorités administratives et judiciaires de la dictature. À qui ils
ont commis un délit en combattant seulement le régime illégal du général Franco on leur a appliqué la grâce de 3 ans qu'a octroyés le nouveau chef d'État franquiste (le roi) en décembre 1975 après avoir assumé la charge. En fait, les antifraquistas auxquels ils ont été pardonnés partiel ou tu peines totalement par des délits commis avant 1977 (année de la fausse amnistie) on leur a seulement appliqué l'induto de décembre 1975 ou, en tout cas, les grâces personnelles.
3. Elle mauvais appelée une loi d'amnistie de 1977
rompt avec critères d'acceptation générale dans le Droit international après avoir constitué une loi de point final (ou il autoamnistie); c'est-à-dire, le pardon des crimes - plusieurs d'eux de lesa une humanité et imprescriptibles - perpétrés à la protection et(ou) dans une défense en un clin d'oeil de l'État et d'une dictature.
4. L'effronterie de ceux qui qualifient encore maintenant d'une amnistie générale la loi de point final de 1977 devient une effronterie si on tient en compte qu'il établissait que
“rien du disposé” dans elle - ainsi il figure dans le texte -
n'empêche de célébrer un jugement et de condamner ceux qui ont commis des délits comme les principes généraux du Droit reconnus pour la communauté internationale, ce qui démontre que si n'ont pas été jugés des milliers de délits perpétrés par le régime et ses serveurs il est parce que l'appareil espagnol de Justice - aussi après l'approbation de la Constitution de 1978 - il
a fermé et il continue de fermer les yeux.
5. Tous les gouvernements eus en Espagne après l'approbation de la Constitution de 1978 sont complices des violations légales qui par omission, par intérêt ou par une inhibition préméditée sont perpétrées dans le Royaume de l'Espagne après ne pas avoir arrêté et à juger à des centaines de délinquants. Là un exemple d'effronterie va : il y a
plus de 30.000 disparitions ou les séquestrations de mineurs qui suivent sans avoir donné de résultats pénaux comparables avec les responsabilités évidentes pénales dans lesquelles sont tombés ses auteurs, entre qui abondent des charges publiques d'importance.
6. La
Loi de Mémoire Historique que le
zapaterismo a dessinée est
l'une des bêtises juridiques les plus aberrantes perpétrées dans un régime démocratique et du Droit. Il ne vaut pas pas seulement pour rien, mais de plus elle a été utilisée pour tromper les milliers de victimes et de citadins - bien que non à tous - et pour contenter à qui continuent de bénéficier des délits - des
milliers inclus de vols patrimoniaux - perpétrés même plus de deux ans quand est mort le général Franco.
7. La majorité des membres du Cour suprême eus dès 1978 jusqu'à aujourd'hui a juré dans les principes du Mouvement et ils ont déclaré sa fidélité au régime franquiste - aussi comme l'actuel chef d'État - donc si en Espagne il y avait eu une transition démocratique avec broderie à jour, ces personnes devraient avoir été interdites d'arborer des responsabilités éminentes dans un État de droit
sans nuances.
8. Si le procédé ouvert contre un Jeune garçon continue et réussit à écarter ce juge de l'Administration de la justice, l'État démontrera sans ombre de doute que l'Espagne est … vous mettez le qualificatif... et il confirmera ce que les faits ont déjà prouvé :
trop de juges et magistrats ont un flirt dans des arguments légalistes, éloignés de la réalité et attrapés par les peurs (ou des intérêts) héritées de la dictature. Dans cette ligne, aucun d'eux n'a pratiquement avalisé avec son autorité les exhumations qui cherchent à vérifier les identités de dizaines de milliers de personnes disparues et assassinées pendant le franquisme. Cette
lâcheté juridique et éthique est encore plus grave si on tient en compte qu'avec ces exhumations il ne cherche personne à juger, mais simplement identifier et donner une sépulture digne à des victimes de terrorisme, dans ce cas le terrorisme de l'État.
9. Le moniteur du procédé ouvert à un Jeune garçon est sur le point d'obtenir ce que la Justice espagnole a évité :
mettre public et internationalement au Royaume de l'Espagne dans l'endroit qu'il mérite. D'UN
INTÉRÊT : "
La réaction par le Jeune garçon", dans
P+DH; "La chasse", dans
Le pays, et "
La défense de Jeune garçon", chez UNE
VEDETTE DIGITALE.
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