Saturday, March 20, 2010

Au président du Cour suprême : Nous ne sommes pas sujets, mais des citadins

Une vignette capturée dans La grotte de Daimao Hoy, elles sont abîmées une nouvelle, les déclarations réalisées par le président très catholique du Cour suprême du Royaume de l'Espagne, Carlos Dívar, qui en plus de mélanger des croyances religieuses avec des responsabilités judiciaires, prétend à ce que les citadins nous respections pas seulement les décisions de la Justice mais de plus nous nous taisons quand elles nous semblent manifestement injustes, idéologiques ou friables. Dans l'État démocratique de Droit est obligé respecter les résolutions des tribunaux, mais que le président du Cour suprême et du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire de l'État démocratique de Droit exige un respect obligé c'est, quand moins, un fruit de sa formation déficiente en ce qui concerne des principes démocratiques; le défaut ce, cependant, qui est compréhensible dans ceux qui ont juré d'accomplir et de faire accomplir les lois d'une dictature génocide. . Aucun citadin espagnol radical et sincèrement démocratique il doute que les sentences des tribunaux doivent être respectées; plus de personne n'ignore - sauf les désinformés - que dans l'appareil espagnol de Justice abondent ceux qui pendant de longues années ont gardé le silence devant le vol systématique de bébés, devant les expropriations de biens pour des motifs politiques, devant les condamnations à une mort sans une base probatoire... et cetera et et cetera. Plus clair : Dans l'appareil de la Justice espagnole, ils abondent encore, les serveurs publics qui tels quels ne méritent pas de respect. De quel respect parle-t-il Dívar ?: comment ose-t-il dire qu'il est intolérable qu'un citadin doute de la crédibilité d'une institution ?: comment ose une personne cultivée à exiger que nous oublions le silence des agneaux cultivés et avec toge qui ont appliqué les critères et les valeurs de ceux qui depuis le Pouvoir volaient et assassinaient ?... Faut-il respecter les décisions de justice ? Catégoriquement, oui. Faut-il communier avec roues de moulin et éviter la critique des décisions que les fonctionnaires tels quels adoptent ? Avec la même rotondité, non. La personne nommée Carlos Dívar Blanco mérite un respect, sans doute, avec le même degré et l'intensité que tout autre mortel: pas plus! Et quand il exerce la profession ses résolutions doivent être respectées, sans doute; mais que nous respectons acríticamente tout tout ce qu'il dicte, fait une déclaration ou une signature est une autre chose. Un respect n'est pas synonyme d'une soumission. UN LIEN à "L'empereur nu et à d'autres contes incroyables", par José Yoldi, dans Le pays. AUPARAVANT, dans ImP : "Il n'a pas suffi de renoncer à la justice, de plus les victimes doivent suivre dans les fossés", "La droite extrême a soumis le Cour suprême" et "Bambi s'emploie seulement avec fermeté avec les amis". D'UN INTÉRÊT : "Un groupe d'intellectuel posiciona contre l'impunité du génocide franquiste", dans UNE NOUVELLE TRIBUNE.

No comments:

Post a Comment