Saturday, March 13, 2010

La majorité des travailleurs désirent des réformes de travail et économiques...

Je ne vais pas entrer dans les digressions qu'ils conduisent à des ruelles esthétiques. Tous - inclus ceux qui le nient ou ils le dissimulent - savent ou nous savons que la société civile de ce pays est restée pratiquement liquidée quand le collectif de dirigeants de : des gauches ? dont a été à la tête Felipe González et la droite post-franquiste qui était UCD ont convaincu à la majorité électorale de ce que depuis le pouvoir on pouvait faire tout et corriger tout. C'était seulement la première marche vers le sommet du succès social, économique et politique. Lequel ? : Le sacralización de la réforme franquiste, de la réforme que, à force d'insister, ils ont faite passer par transition. [Dans une politique il y a des erreurs que tous les citadins du commun nous payons avec années de retard. Détruire la capacité sociale d'être organisé et d'agir est l'une des initiatives les plus absurdes qui peuvent adopter les partis et les gouvernements qui, au moins théoriquement, défendent la nécessité de rompre avec autarcies, dictatures, un corporatisme répandu et ignorancias. Principalement ceux qui, comme ils disaient, réformaient l'État qui manquait d'une rationalité et d'une structure opérante] De manière Qu'après le suarismo et les felipismo endormants, quand la société civile a été liquidée (en méprisant aux associations des locataires, les organisations professionnelles et corporatives, en ignorant à des milliers d'entreprises familiales, precindiendo des organismes de la vie culturelle de base et participativa, et cetera...) et discrédités aussi les syndicats, ils sont arrivés, Aznar López et ses bulles - nées sous la protection de l'accumulation spectaculaire de capitaux qui était enregistrée dans l'Occident dès les premières années quatre-vingt-dix, une générosité financière et desregulacions dont les spéculateurs ont fait du bien, la grande banque, aux agences immobilières, et cetera... Et de nombreux citadins ont cru vivre dans le Pays de cocagne... Maintenant, dans une pleine récession et enterré ou maquillé le passé, il y a des moyens qui ont semblé titulaires en qualifiant d'un pauvre, décevante ou peu abondante la mobilisation contre le pensionazo. Qui coupe est la mémoire!: bénie, elle est, la capacité des journalistes et d'annalistes d'ordre pour descontextualizar, en transformant aujourd'hui en éternité, en se passant des temps de passé, sans conditionnels ni subjonctifs! À la fin, l'essentiel après la journée anti-pensionazo consiste en ce que rien n'a changé, sauf que quelques milliers suivent éveillés... Qui n'est pas peu nombreux! Tous - excepté ceux qui ferment les yeux - savons que dans le Congrès des Députés il y a une vaste majorité favorable au pensionazo, avec le PP dans la première ligne; un parti dont l'effronterie permettrait d'écrire un essai intitulé Le tapage destructif, la maladie infantile du droitisme; si aliénée, elle suis, la direction du PP qui applaudit aux syndicats pour protester contre ce que le propre PP défend depuis les années (moins de prestations, plus de subventions politiques, je jette gratis, réduire la dépense sociale, et cetera et et cetera). Oui à la réforme de travail et à la rationalisation de l'économie! Tous savons - sauf ceux qui préfèrent fermer les yeux - que la majorité des travailleurs, inclus autonomes et un haut pourcentage de petits entrepreneurs, aspirent à une réforme de travail et économique. La majorité convoite une réforme qui en finit avec les contrats temporels pour couvrir des postes fixes, que je mets un réservé à l'abondance de salariés pas évidents, qui freine l'alluvion d'heures supplémentaires non structurales ni justifiées par des raisons de production; une réforme qui fait accomplir la loi en cas des dettes à la sécurité sociale, qu'empêche l'enrichissement d'entrepreneurs qui recourent à des pratiques irrégulières et illégales pendant une décennie, comme c'était le cas d'AirComet; une réforme qui exécute les embargos qui correspondent à l'impayé réitéré d'obligations fiscales qui génèrent une concurrence déloyale entre des entreprises (déjà sois bien des pactes allègue-les pour ajourner et réduire des dettes millionnaires au trésor public!) ; une réforme que punit l'absentéisme et le ventajismo des lameculos, qui adapte les lois pour empêcher les impayés systématiques qu'ils ruinent à des milliers de pymes et à des dizaines de milliers d'autonomes, qu'empêche l'existence d'autonomes qui travaillent seulement pour une entreprise (ce qui les transforme en salariés bon marchés et sans droits!) ... et une longueur et cetera qu'il est impossible de résumer dans un habitacle. Enfin, la majorité des travailleurs sont oui par les réformes, tant la de travail comme celle des lois qui régissent l'économie réelle du pays. Ce sont ceux qui posent une réforme qui commence pour découper des droits à ceux qui veulent oui que l'on parle des réformes de poids, qui veillent aux Droits et avec critères d'Économie, avec majuscules, qui cassent la jeu de cartes : sans les urnes entre les meninges! Et le dalai lèche de la banque d'Espagne levitando... Parti socialiste espagnol et PP - plus ses Forces Alliées respectives et collègues de voyage - démontrent un degré élevé de l'incapacité de regarder (au lieu de se limiter à voir), pour analyser (oubliez des élections!) et pour penser à la citoyenneté (il est déjà bien de FMI, OCDE et, surtout, il est déjà bien de G20). Et à son bord le gouverneur de la banque d'Espagne, dont on peut dire que de la vie économique réelle il sait seulement ce qu'il arrive à voir dès son ciel personnel. Les thèses de ce gouverneur qui parle d'une économie levitando, celles des grandes associations et des organismes multinationaux - tant ils montent - et celles des periclitadas des institutions créés dans Bretton Woods sont simplemento cela, les thèses de ceux qui se consacrent à argumenter ce qu'ils pensent sans toucher de terre ou: au pire!, ils défendent des larcins financiers et les dérèglements qui offrent seulement un avenir aux élites et à ses serveurs, des spéculateurs aux encargadillos d'entreprise et aux journalistes de succès qui sont la voix du maître qu'un meilleur paiement ou hunta, plus une liste honteuse de créateurs d'hyperréalités. Clair qui a besoin d'une réforme de travail et économique, jusqu'aux entreprenants et les entrepreneurs honnêtes ils la désirent! Qu'il manque d'un sens et bouche l'avenir c'est une réforme qui commence par ennuyer [je n'ai pas écrit en baisant, bien que je l'aie pensé] à la majorité immense, qui est par-dessus le marché celle qui apporte plus aux Finances publiques une voie IRPF et une TVA. Si les réformes étaient faites en écoutant la réalité, même on pourrait admettre la prolongation de la vie de travail... AUPARAVANT, dans ImP : "Un baromètre social de l'Espagne : plus capital et moins de salaire": "Y aura-t-il une réforme de travail sans nettoyer et rationaliser l'économie ?" et : "Qui est-ce qui appuie prolonger la vie de travail ? : Une banque, patronal et PP, qu'il évite de le dire".

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